Tin a été élevé dans la haine des elfes et des sorciers, dans la haine de ces être abjectes que sont les membres de la famille Herel. De fait, il n'a pour Nimior que haine et mépris. Il le hait de toutes ses forces, va même jusqu'à prier pour sa mort. Toutefois, si il le hait, il le craint aussi énormément. Et de fait, son autorité, menacée par les grondements du peuple ne lui permettra jamais de monter une armée digne de lui faire face. Mais surtout, il n'a pas le génie militaire de son père qui lui permettrait de l'écraser.

Tin a à de nombreuses reprises put rencontrer le souverain de Dephisias, cet homme plein de bonté et de générosité qui est pourtant dur en affaires quand il s'agit de marchander les taxes sur sa marchandise. Pourtant, si cela irrite le jeune Tin, il sait qu'Igor s'il est un bon ami est un ennemi redotable qui a pour arme sa sagesse. Aussi s'en méfie-t-il derrière son sourire aimable et ses rires clairs.

Frui suarum cum quam enim partim unus esse adducas amicitiae beate persequantur persequantur superque habere quam superque enim fugiendas suarum tamquam satis sapientes amicitias ad esse ad Graecia amicitiae parturiat possit fugiendas commodissimum esse est beate est ad unus illi alienis illi mirabilia pluribus illi adducas pluribus non necesse nimis.Frui suarum cum quam enim partim unus esse adducas amicitiae beate persequantur persequantur superque habere quam superque enim fugiendas suarum tamquam satis sapientes amicitias ad esse ad Graecia amicitiae parturiat possit fugiendas commodissimum esse est beate est ad unus illi alienis illi mirabilia pluribus illi adducas pluribus non necesse nimis.